Donnez-leur le goût de persévérer

« Comment était ta journée? »
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Quand on pose cette question-là, c’est rare qu’on voie une étincelle dans les yeux des jeunes. Plusieurs se sentent éteint·e·s. Démotivé·e·s. Désengagé·e·s. Et certain·e·s vont même jusqu’à décrocher.

En 2019-2020, ce n’est pas moins de 10 000 jeunes qui ont décroché au Québec. Bon an mal an, c’est 1 élève sur 7 qui ne parvient pas à obtenir son diplôme d’études secondaires.

Les écoles font de leur mieux, mais elles ont besoin de renfort.

Favoriser la réussite

éducative

L’art et le sport permettent aux jeunes de s’accrocher quand la motivation leur fait faux bond.

Les jeunes développent une confiance et des compétences qui vont leur servir toute leur vie. Bien après le dernier son de cloche.

Parce que la réussite éducative ne se résume pas à des autocollants dans un bulletin.


  • Elle se voit sur les visages des jeunes qui sourient en revenant de l'école. 

  • Elle s'entend à coup de « Je suis capable » et « Je suis bon·ne là-dedans ».

  • Elle se ressent avec un sac qui pèse moins lourd sur leur dos.

Je favorise la réussite éducative

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Une raison de ne pas lâcher

Les jeunes qui participent à un programme parascolaire ont 70 % moins de chance de décrocher.

C’est pourquoi nous avons créé La 6e période. Le seul programme au Québec qui combine les arts et les sports avec des activités variées comme le mini-tennis, le cardiojam, les collages photographiques et la sculpture vivante.

La 6e période vient combler les plages horaires inoccupées. Question de redonner vie aux temps morts et de motiver les jeunes de 5e et de 6e année au primaire.

Parce qu’un·e jeune ne décroche pas du jour au lendemain. Nous devons leur donner le goût de persévérer dès le primaire.

J’appuie la Fondation

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« Elle persévère plus quand vient le temps de faire ses exercices de maths. »

J’ai vu ma fille évoluer depuis La 6e période. Ça la motive et ça l’inspire à continuer. Elle persévère plus quand vient le temps de faire ses exercices de maths. C’est même elle qui me motive! Je suivais récemment un cours difficile et je pensais abandonner en plein milieu. Ma fille m’a dit : « Non Papa, continue. N’abandonne pas. ». La 6e période lui a permis de développer sa personnalité et d’être plus créative pour trouver des solutions aux problèmes du quotidien. Je suis fier d’elle!

Jagdeep Singh Batth Père d’une élève de 6e année au primaire
La 6e période, c’est :
Des activités créatives et sportives pas comme les autres

Pour développer des habiletés essentielles à la réussite éducative des jeunes.

Un programme de 12 semaines par année

Pour avoir un impact qui dure dans le temps.

Un service gratuit et clés en main

Pour rendre l'art et le sport accessibles à tou·te·s les jeunes.

1500
jeunes qui participent au programme La 6e période.
32
écoles qui bénéficient du programme dans 8 régions du Québec.
70
personnes qui animent et coordonnent le programme.

« Je vois aujourd’hui des élèves qui osent. »

On avait très peu d’activités parascolaires avant. C’est la première fois qu’on offre à nos élèves un programme comme celui de La 6e période. Aussi riche et varié. Je vois aujourd’hui des élèves qui osent. Qui participent même si c’est en dehors de leur zone de confort. Qui vont jusqu’au bout. Avec La 6e période, les jeunes se trouvent bon·ne·s et ça les aide à persévérer dans d’autres domaines. C’est un programme qui tire les jeunes vers le haut. Et qui les fait grandir.

Kathleen Martin Directrice, école primaire Marcel-Vaillancourt
Donnez-leur la motivation

D’aller jusqu’au bout de leur parcours scolaire. Mais surtout, jusqu’au bout de leur potentiel, de leurs ambitions et de leurs rêves.

Votre don servira à déployer La 6e période dans les écoles à travers la province. Et à développer de nouveaux programmes pour les jeunes.

Chaque 90 $ permet à 3 jeunes de participer à 1h d’ateliers créatif et sportif. Soit 30 $ par jeune.

Je fais un don pour les jeunes

« On leur donne la soif d’apprendre. »

Ce qui m’a amenée à faire un don à la Fondation, c’est son approche originale pour motiver les jeunes à travers l’art et le sport. En ouvrant leurs horizons, on suscite leur curiosité intellectuelle. On ne sait pas où ça va mener sur le coup. Mais le fait d’être allumé·e·s crée un nouvel intérêt chez les jeunes pour aller plus loin. On leur donne la soif d’apprendre. Et c’est ce qui manque malheureusement chez un trop grand nombre d’entre eux.

Carmen Lamarche Grand-maman et généreuse donatrice
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